Alsharq Tribune - Reuters
La décision de réduire drastiquement les contrats de santé par USAID provoque une perturbation sans précédent dans les services médicaux mondiaux.
Les récentes coupes dans l’aide étrangère, initiées par l’administration Trump, touchent particulièrement les programmes de santé vitaux dans les pays en développement.
Des ONG et des gouvernements locaux signalent que la réduction des financements met en péril l’accès aux vaccins, aux soins maternels et aux traitements contre le VIH/SIDA.
Les prestataires de services de santé se retrouvent contraints d’annuler ou de réduire des projets essentiels qui avaient permis de sauver des millions de vies.
Cette politique de coupes budgétaires, justifiée par la nécessité de réduire les dépenses fédérales, menace de provoquer un effondrement des systèmes de santé déjà fragiles.
Les experts avertissent que la disparition progressive de ces contrats pourrait aggraver la crise humanitaire dans de nombreuses régions du monde.
Les critiques dénoncent une stratégie à court terme qui risque de compromettre la stabilité sanitaire globale et de creuser les inégalités.
Les acteurs internationaux appellent à une réévaluation urgente des priorités de l’aide internationale, afin de préserver les acquis en matière de santé publique.
Les responsables américains, quant à eux, défendent leur approche en soulignant la volonté de réallouer les ressources et de réduire le gaspillage.
Pourtant, l’impact de ces mesures sur les populations vulnérables demeure une préoccupation majeure.
Le futur de la coopération en matière de santé internationale est désormais incertain, alors que des millions de vies pourraient être en jeu.
USAID se trouve au cœur d’un débat mondial sur la balance entre rigueur budgétaire et responsabilité humanitaire.