Alsharq Tribune - Reuters
L'administration Trump a lancé une réforme majeure de la fonction publique fédérale visant à réduire le nombre d’employés gouvernementaux et à restructurer les postes clés.
Parmi les mesures mises en place figurent des offres de départ volontaire avec indemnités, la reclassification des postes sous la catégorie "Schedule F" facilitant les licenciements, ainsi que la nomination d’Elon Musk à la tête du Department of Government Efficiency (DOGE) pour superviser ces changements.
Ces initiatives ont suscité de vives inquiétudes chez les fonctionnaires et les syndicats, certains engageant des actions en justice pour contester la légalité des départs volontaires et des suppressions de postes.
Les réformes soulèvent plusieurs interrogations sur l'efficacité gouvernementale et la politisation de la fonction publique.
Si la réduction de la bureaucratie est l’objectif affiché, elle risque de se traduire par une perte d’expertise et une détérioration du moral des employés.
Les démocrates critiquent vivement ces mesures, tandis que certains républicains les considèrent comme nécessaires pour accroître l'efficacité administrative.
L’issue de ces changements demeure incertaine, et leur impact sur la gestion des affaires publiques et la stabilité de l’administration fédérale sera à surveiller de près.